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QUI SOMMES-NOUS ?

CER HOM (Fin du canCER et début de l'HOMme) est une association née sous l'impulsion du Professeur FIZAZI Oncologue, chef de service de l'Institut Gustave Roussy de Villejuif (94800). 

Les équipes médicales se sont en effet aperçues au regard de ce qui existait dans d'autres pays, qu'il manquait une/des structures telle(s) que la nôtre en France qui fassent le lien entre le médical et le malade. 

Qui, mieux qu'un malade ou un ancien malade, peut s'adresser à un nouveau patient ??? 

Qui, mieux que nous, peut ressentir ou avoir un sentiment proche de celui que peut avoir un nouveau patient ??? 

Chacun « porte sa croix » et nos échanges, nos contacts, nos rencontres avec le(s) malade(s) la rendent moins lourde...

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Les cancers touchant spécifiquement les hommes représentent un problème majeur de santé publique en France puisque le cancer de la prostate est en incidence le premier cancer chez l’Homme dans notre pays tandis que le cancer du testicule est le premier cancer de l’homme jeune. Voilà 4 ans maintenant que nous avons fondé l’association CerHOm pour intervenir aussi bien : 
- auprès des patients pour leur apporter toute l’aide que notre expérience de la maladie nous permet de dispenser, 
- auprès des pouvoirs publics dans le domaine très compliqué des traitements innovants, 
- dans le cadre de la vulgarisation de l’information tant il est encore évident aujourd’hui que ces domaines ne suscitent pas l’intérêt qu’ils méritent. 
- Les pathologies dont il est question restent confidentielles alors que leur nombre ne cesse de progresser ; les chiffres en témoignent. 
Les femmes sont plus en avance que les hommes dans le secteur de la santé et leur exemple qui est à suivre a du mal à se forger une réalité dans ce domaine spécifiquement masculin, là où ces maladies touchent directement notre virilité et notre « coté macho ». 
Le manque d’informations, la solitude et le désarroi militent pour la libération des tabous et « pour que plus jamais un homme soit seul face à la maladie »  

Il est donc important de témoigner afin de libérer la parole des hommes et lever les tabous.
 

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UNE ÉQUIPE À VOTRE ÉCOUTE

Cerhom, ce sont des professionnels à votre écoute, des anciens malades, des personnes qui sauront vous soutenir et répondre à vos questions.

Une équipe volontaire, pour faire reculer vos doutes et vous soutenir dans cette épreuve et après...

Que vous soyez proche ou malade, nattendez plus et contactez notre centre découte

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Les derniers chiffres de l'INCA sur le cancer de la prostate

Les derniers chiffres de l'INCA sur le cancer de la prostate

23/09/2023 - Actus

Le cancer de la prostate est un sujet crucial en matière de santé masculine. Dans cet article, nous vous présentons des informations basées sur les données de l'Institut National du Cancer (INCA), vous permettant de mieux comprendre cette maladie et ses implications.
 
1-Prévalence et incidence 
 
Selon l'INCA, le cancer de la prostate représente environ 24% de tous les cancers diagnostiqués chez les hommes. Bien qu'il soit rare avant l'âge de 50 ans, son incidence augmente progressivement avec l'âge. Entre 1990 et 2023, on a observé une augmentation de plus de 180% du nombre de cas de cancer de la prostate. Malgré cela, il est essentiel de noter que le taux de survie à 5 ans pour ce type de cancer est élevé.
 
2-Impact statistique
 
Le cancer de la prostate est la principale cause de cancer chez les hommes et la troisième cause de décès par cancer chez les hommes. En 2018, en France, 59 885 nouveaux cas de cancer de la prostate ont été enregistrés, avec une diminution annuelle de 1,1% entre 2010 et 2018. En ce qui concerne les décès, on a observé 8 100 cas en 2018, avec une baisse annuelle de 3,7% entre 2010 et 2018.
 
3-Caractéristiques et diagnostic 
 
L'âge moyen des hommes atteints de ce cancer est de 69 ans. Cependant, il est important de noter que le taux de survie nette à 5 ans pour les hommes diagnostiqués entre 2010 et 2015 était de 93%. En 2017, on estimait à 643 156 le nombre de personnes atteintes de cancer de la prostate en France.
 
4-Détection précoce et diagnostic 
 
Dans 80% des cas, les cancers de la prostate sont diagnostiqués à un stade localisé dans la prostate. Le stade au moment du diagnostic est un facteur prédictif majeur pour cette maladie. Bien que le test PSA (Prostate Specific Antigen ou antigène spécifique de la prostate) ne soit pas suffisamment fiable pour poser un diagnostic de cancer, un taux élevé peut inciter à réaliser des examens complémentaires, tels qu'un toucher rectal, pour confirmer le diagnostic. Dans certains cas, le diagnostic peut également être établi à la suite d'un traitement chirurgical pour un adénome de la prostate.
 
5- Options de traitement et prise en charge 
 
Le choix de la stratégie de soins dépend des caractéristiques spécifiques de chaque patient. Ces caractéristiques sont déterminées lors des examens diagnostiques et incluent l'emplacement du cancer, son type histologique (le type de cellules impliquées), son stade et son grade (niveau d'agressivité). Plusieurs options de traitement peuvent être proposées, telles que la chirurgie, la radiothérapie externe, la curiethérapie, l'hormonothérapie ou la surveillance active. Le choix de la stratégie thérapeutique est adapté au cas personnel de chaque patient.
 
Il est crucial de consulter un professionnel de la santé pour obtenir des informations précises et adaptées à votre situation. Les informations fournies dans cet article sont basées sur les données disponibles de l'Institut National du Cancer (INCA) en France. Le cancer de la prostate reste une préoccupation majeure en matière de santé masculine, et il est essentiel de comprendre ses aspects fondamentaux pour une meilleure prise de décision et une prise en charge adéquate.
 
 
Sources :
Institut National du Cancer (INCA) - www.e-cancer.fr
Document INCA
 

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Article ASCO 2023 Cancer de la prostate

Article ASCO 2023 Cancer de la prostate

23/09/2023 - Actus

Une combinaison thérapeutique prometteuse pour les cancers de la prostate métastatiques avec altérations génétiques de réparation de l'ADN
 
Le cancer de la prostate est le cancer le plus fréquent chez l'homme, avec environ 50 000 nouveaux cas par an en France, dont 10 % sont d'emblée métastatiques. Certains patients atteints de ce cancer présentent des altérations des gènes de réparation de l'ADN, ce qui rend le traitement plus complexe.
 
Partie 1 : Les enjeux du cancer de la prostate métastatique résistant à l'hormonothérapie
 
Les hormonothérapies de seconde génération, telles que l'abiratérone et l'enzalutamide, sont actuellement utilisées comme traitement standard pour les cancers de la prostate métastatiques hormono-sensibles ou résistants à la castration. Cependant, chez certains patients, ces traitements peuvent ne pas être suffisamment efficaces en raison d'altérations génétiques spécifiques, notamment les gènes de réparation de l'ADN, tels que BRCA1, BRCA2, PALB2, ATM, ATR, CHEK2, FANCA, RAD51C, NBN, MLH1, MRE11A et CDK12.
 
Partie 2 : Le talazoparib, un nouvel inhibiteur de PARP prometteur
 
Le talazoparib est un nouvel inhibiteur de PARP, une enzyme impliquée dans la réparation des lésions de l'ADN cellulaire. Il a déjà démontré une activité antitumorale dans le cancer du sein avancé avec mutation de BRCA1/2 et HER2 négatif. Cette molécule suscite donc un grand intérêt pour son potentiel dans le traitement du cancer de la prostate métastatique porteur de mutations génétiques de réparation de l'ADN.
 
Partie 3 : L'étude TALAPRO-2 et ses résultats prometteurs
 
TALAPRO-2 est une étude internationale de phase 3 qui vise à évaluer l'efficacité du talazoparib associé à l'enzalutamide comme traitement de première ligne chez les patients atteints de cancers de la prostate métastatique présentant des altérations génétiques de réparation de l'ADN.
L'étude a inclus 399 hommes atteints de cancer de la prostate métastatique résistant au traitement par hormonothérapie conventionnelle. Ces patients ont été répartis aléatoirement en deux groupes : l'un recevant la combinaison de talazoparib et d'enzalutamide, et l'autre recevant seulement l'enzalutamide avec un placebo.
Les résultats de l'étude ont été très prometteurs. Le groupe recevant la combinaison thérapeutique a montré une réduction significative de 55 % du risque de décès ou de progression tumorale par rapport au groupe sous placebo. Dans les sous-groupes de patients présentant des altérations des gènes BRCA2 et BRCA1, le risque de décès ou de progression tumorale a été réduit de 80 %.
 
Partie 4 : Des perspectives pour le traitement du cancer de la prostate métastatique
 
Les critères secondaires de l'étude, tels que le délai jusqu'à la progression biologique de la tumeur, le délai sans utilisation d'une chimiothérapie et la survie sans progression après un premier événement de progression tumorale, ont également montré des résultats très positifs.
 
Bien que l'anémie ait été le principal effet secondaire observé, avec environ 40 % des cas de grade 3-4, la survie sans détérioration de la qualité de vie a été significativement prolongée pour les patients recevant la combinaison des deux médicaments.
 
Les résultats de l'étude TALAPRO-2 suggèrent que l'inhibiteur de PARP associé à une hormonothérapie de seconde génération devrait devenir un standard thérapeutique pour les hommes atteints de cancers de la prostate métastatiques devenus résistants à l'hormonothérapie et présentant des altérations des gènes BRCA. Cette nouvelle approche thérapeutique offre de nouvelles perspectives pour le traitement des cancers de la prostate métastatiques porteurs de mutations génétiques de réparation de l'ADN et pourrait améliorer considérablement la prise en charge de ces patients.
 
 
 
SOURCES : 
 
ASCO 2023
https://www.gustaveroussy.fr/fr/asco-2023-cancer-de-la-prostate-metastatique-porteurs-de-mutations-genetiques-de-reparation-de-ladn
 

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